Le président serbe Tomislav Nikolic a nié l’existence d’un génocide en 1995 à Srebrenica, en Bosnie, déclaration qui remet en cause son prétendu abandon de l’ultranationalisme et qui va dégrader les relations dans une région toujours profondément marquées par les guerres des années 1990. “Il n’y a pas eu de génocide à Srebrenica”, a déclaré le nouveau président serbe, un nationaliste populiste qui a prêté serment jeudi, dans une interview à la télévision monténégrine diffusée sur son site web vendredi.
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