La crise syrienne
Valérie Trierweiler a expliqué qu’elle "n’avait pas d’avis personnel" sur une intervention militaire en Syrie : "Je suis sans doute comme toutes les mères. Je trouve qu’on ne peut pas accepter l’inacceptable. Quand j’ai vu ces corps d’enfants alignés par dizaine les uns contre les autres, oui j’ai exprimé mon émotion. Et je continuerai à le faire. Vraiment, ça m’a empêchée de dormir ces images, j’y pense encore. Je ne sais pas comment on peut supporter ça, comment on peut accepter ça."
Son rôle
Face à Nathalie Renoux, Valérie Trierweiler a expliqué qu’elle était à la fois Première dame et journaliste : "Les deux font partie de mon activité aujourd’hui. Même si ce que je fais aujourd’hui pour le journal pour lequel je travaille [