L’accord prévoit le déploiement des forces de la police dans la ville pour y maintenir l’ordre, ont indiqué les deux parties.
Des tribus avaient déployé leurs combattants à Taëz pour défendre les manifestants qui réclament le départ du président Saleh. Ces contestataires étaient souvent attaqués par les forces gouvernementales.
Une précédente trêve, conclue fin juin, avait volé en éclats avec le regain des heurts, début août, entre les deux parties, faisant des morts dans les deux camps.