Valérie Trierweiler insulte le directeur de Paris Match

Valérie Trierweiler insulte le directeur de Paris Match
Valérie Trierweiler aurait téléphoné au directeur de la rédaction de Paris Match et aurait eu des mots très durs envers ce dernier, selon Le Canard Enchaîné.

"Je viens de découvrir ton journal de merde", aurait en ces termes assené la Première dame de France à la messagerie d’Olivier Royant, patron de la rédaction de Paris Match. Valérie Trierweiler, toujours salariée de l’hebdomadaire, se serait ensuite énervée contre des "photos de merde" et ce "Match" qui ne fait "que de la merde", selon des propos relayés par nos confrères de Voici et Ozap.

La compagne de François Hollande réagissait au numéro du 7 février dernier montrant en Une et dans quatre pages intérieures le couple présidentiel se promenant au Jardin du Luxembourg à Paris.

Olivier Royant, choqué par la réaction disproportionnée de sa journaliste, ne s’est alors pas privé pour raconter l’incident à ses proches et à sa hiérarchie. Royant est certes "habitué aux éruptions" de Valérie Trierweiler, mais jamais il n’avait reçu un "coup de canon aussi puissant", témoigne un employé de Paris Match.

Contacté par le Canard Enchaîné, le chef de cabinet de Valérie Trierweiler a confirmé que cette dernière avait laissé un message vocal de mécontentement à Olivier Royant "car, quand Match consacre sa Une à quelqu’un, il prévient toujours".

"Elle n’utilise pas ce genre de mots. Si elle considérait que Paris Match était un "journal de merde", elle serait partie depuis longtemps. Elle a protesté mais en des termes courtois", a-t-il tempéré.

Ce n’est pas la première fois que Valérie Trierweiler s’en prend à son employeur, rappelle Ozap. En mars 2012, à l’époque où elle était encore active sur Twitter, la Première dame de France s’était indignée sur la Toile de voir des photos d’elle utilisées sans son accord lors de la sortie d’une couverture de Match titrée "Valérie, l’atout charme de François Hollande".

Précisons enfin que le directeur de Paris Match aurait décidé de passer l’éponge pour les insultes proférées à l’encontre de son journal.

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