"Il se trouve que, sans doute peut-être, le régime a essayé de me récupérer en me donnant la nationalité, mais je n’ai pas fait de compromis, aucun", a-t-il insisté.
"Jusqu’au bout, presque au bout, juste avant les massacres, j’ai pensé, comme pas mal de gens, que la meilleure manière de protéger ceux auxquels j’étais attaché -et ça représentait tout le peuple tunisien et notamment les opposants- était de ne pas braquer un régime dont je connaissais parfaitement l’autorité", s’est encore justifié Frédéric Mitterrand.