Les syndicats déplorent la perte des dix-neuf emplois mais se montrent néanmoins satisfaits de la méthode employée pour réduire l’impact global. Le plan prévoit la prépension de huit ouvriers et de deux employés ainsi que le licenciement de quatre employés et de cinq ouvriers, même si la piste de départs volontaires est également sur la table des négociations « si les conditions du plan social sont acceptables pour les travailleurs concernés », ajoutent les syndicats.
La phase 1 de la loi Renault a pris fin mardi chez Hydro Alu, société spécialisée dans la fourniture d’aluminium. Dix-neuf personnes, soit 16,4 équivalent temps plein, perdront finalement leur emploi, a-t-on appris de source syndicale, alors que la direction avait misé sur le départ de 15% du personnel, soit une trentaine de travailleurs sur les 222 que compte l’entreprise.