Le chef de la diplomatie a indiqué qu’il en avait déjà parlé à son homologue américaine Hillary Clinton, qu’il doit rencontrer dans la cité bavaroise.
La principale objection de la Russie, a-t-il poursuivi, c’est que le projet de résolution évoque des mesures à prendre contre Damas, mais pas contre les "groupes armés" qui exploitent les manifestations.