Mezouar : Le bilan de la coopération entre le Maroc et l’UE est « positif »

Le bilan de la coopération entre le Maroc et l’UE est « positif », a affirmé, lundi à Bruxelles, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération,

"Le bilan de la coopération entre le Maroc et l’UE est jugé positif, car l’année 2013 a été marquée par la conclusion d’importants accords et de partenariats dans divers domaines", a souligné M. Mezouar dans une déclaration à la MAP, à l’issue du 11-ème conseil d’association Maroc-UE.

Parmi les avancées notoires enregistrées cette année, le ministre a cité tout particulièrement la question de la convergence réglementaire, qui touche au rapprochement entre les deux parties et qui ne manquera pas, selon lui, d’ouvrir des perspectives fondamentales.

L’autre aspect essentiel du renforcement des relations entre le Maroc et l’UE concerne l’accord de libre-échange complet et approfondi (ALECA), qui va intégrer, une fois les négociations achevées, des aspects importants liés au secteur des services par exemple ou encore à la question de l’origine des produits qui permettra au Royaume de développer davantage sa présence sur le marché européen, a-t-il poursuivi.

"Des questions essentielles comme la mobilité ou la facilitation de l’attribution des visas d’accès à l’espace européen contribueront aussi à promouvoir davantage le rapprochement entre le Maroc et l’UE", a-t-il estimé, notant que toutes ces avancées font que ce processus de partenariat se développe et se consolide.

Pour le ministre, ces progrès sont d’autant plus importants que dans un contexte international de perturbations, le Maroc ressort comme le pays le plus stable et le plus sérieux.

"Ces atouts encouragent nos partenaires européens à nous faire beaucoup plus confiance, nous accompagner dans cette dynamique de réformes et soutenir tous nos efforts sur les plans socio-économique et du développement humain", a-t-il dit.

Le ministre a tenu à rappeler que le partenariat stratégique avec l’UE est "un choix voulu par le Roi Mohammed VI" et un "choix de société dans ses différentes dimensions relatives aux valeurs universelles, à la liberté, aux droits de l’Homme, à la démocratie, à la parité Hommes-Femmes et à tout ce qui est en relation avec les libertés individuelles et collectives".

C’est aussi, selon lui, un choix d’une économie ouverte et libéralisée où l’initiative privée est fondamentale et où les choix de développement, particulièrement pour un pays en développement et en mutation dans une logique inclusive, sont fondamentaux.

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