Taoufik Ibrahimi, accusé principal, a ainsi écopé de cinq ans de prison ferme, la Cour l’ayant blanchi du chef d’inculpation de "constitution d’une bande criminelle".
Les mis en cause sont poursuivis, chacun en ce qui le concerne, pour "constitution d’une bande criminelle, préparation, incitation et participation au sabotage d’établissements publics (ports et bateaux), entrave à la liberté du travail et divulgation du secret professionnel".