Marine Le Pen a en effet expliqué que Mohamed Merah était "peut-être la partie émergée de l’iceberg".
"Cette affaire est la conséquence la plus cruelle et la plus visible d’un mal très répandu", a-t-elle ajouté. C’est "l’expression paroxystique d’une gangrène qui se développe à vitesse grand V". "Combien de Mohamed Merah dans les avions, les bateaux, qui chaque jour arrivent en France remplis d’immigrés ?", s’est-elle interrogée. "Combien de Mohamed Merah parmi les enfants de ces immigrés non assimilés ?".
La candidate frontiste s’est de nouveau engagée à réduire l’immigration légale de 200.000 à 10.000 entrées par an. Un objectif qui serait atteint, selon elle, au terme de son éventuel quinquennat