"On ne va s’interdire aucun sujet: la relation bilatérale, la question des déplacements, la problématique de l’immigration bien évidemment et les grands dossiers qui concernent nos départements ministériels, la lutte contre le terrorisme, qui concerne très directement la France ces derniers jours, –et je sais le tribut que les Algériens ont payé au terrorisme– et puis le dossier du Sahel, plus particulièrement la crise malienne", a déclaré Manuel Valls.
