Plusieurs puissants groupes armés libyens ont donné mardi au Congrès général national (CGN), la plus haute autorité politique du pays, quelques heures pour quitter le pouvoir, menaçant d’arrêter tout député récalcitrant : « Nous donnons au Congrès dont le mandat a expiré cinq heures pour remettre le pouvoir », soit jusqu’à 21h30 (20h30 heure belge), ont déclaré des chefs ex-rebelles. Le CGN dénonce une menace de « coup d’Etat ».
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