"Nous condamnons dans les termes les plus forts l’acte de terrorisme survenu à Beyrouth", a déclaré la porte-parole du Département d’Etat, Victoria Nuland, lors de son point de presse quotidien, affirmant qu’il n’existe "aucune justification pour une telle violence".
Un attentat à la voiture piégée a secoué vendredi matin le secteur Est de la capitale libanaise, à 200 mètres d’un bureau des Kataëb (Phalanges), parti chrétien de l’opposition libanaise hostile au régime syrien de Bachar al-Assad.
La porte-parole a souligné, à cet égard, le soutien de Washington à la souveraineté et l’indépendance du Liban, tout en réitérant ses préoccupations des retombées du conflit armé en Syrie sur la sécurité et la stabilité de la région.