Le président sortant Mwai Kibaki, que la Constitution empêche de briguer un troisième mandat consécutif de cinq ans, a plaidé en faveur d’élections pacifiques, cinq ans après les affrontements politico-ethniques qui ont ensanglanté le pays, faisant 1.200 morts et 350.000 déplacés.
Hanté par les violences post-électorales de 2007, le Kenya choisit lundi un nouveau président, avec deux prétendants au coude à coude qu’un second tour devra peut-être départager.