Pour expliquer la décision, le ministre des Affaires étrangères a reproché à l’Iran de fournir une aide militaire croissante au régime syrien de Bashar Al-Asad, de refuser de se conformer aux résolutions des Nations unies concernant son programme nucléaire, de menacer régulièrement Israël, de compter parmi les pires violateurs des droits de la personne au monde, d’abriter des groupes terroristes et de mépriser de façon flagrante la convention de Vienne.
