"En pressant l’Ukraine d’aller d’un côté, et en l’avertissant qu’il faut choisir soit l’un soit l’autre, d’être soit avec l’Union européenne soit avec la Russie, ils essaient dans le fond de créer une sphère d’influence", a déclaré le ministre lors d’une conférence de presse à Moscou avec son homologue allemand, Frank-Walter Steinmeier.
"Il me semble qu’il n’est pas tout à fait correct, pas tout à fait poli, quand on parle de liberté de choix, d’envoyer chaque jour des émissaires", a-t-il ajouté, faisant allusion aux visites de représentants européens et américains de haut rang à Kiev.

