«Nous avons fait pratiquement la moitié du travail de vérification des sites déclarés», a dit à La Haye Malik Ellahi, un conseiller politique sur la Syrie de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC).
En dépit des progrès, il a souligné que la sécurité restait une des principales préoccupations pour cette mission menée pour la première fois dans un pays en guerre.
