Le tribunal de Palma de Majorque, aux Baléares, a annoncé qu’il «suspendait, pour le moment» la mise en examen décidée par un juge d’instruction ainsi que l’audition de l’infante, à la suite d’un recours déposé par le Parquet anticorruption qui avait estimé les indices «inexistants».
La mise en examen de Cristina, septième dans l’ordre de succession au trône d’Espagne, après celle de son époux, Iñaki Urdangarin, à la fin 2011, a ouvert pour la monarchie une crise inédite depuis l’arrivée sur le trône du roi Juan Carlos, deux jours après la mort du dictateur Francisco Franco le 20 novembre 1975.
