Interrogé sur la proposition de la Russie d’associer l’Iran, pays voisin de la Syrie, à une conférence sur la crise syrienne, M. Fabius a répondu: "L’Iran en aucun cas, car tout d’abord ce serait contradictoire avec l’objectif de pression forte sur la Syrie, et cela aurait une interaction sur les discussions sur le nucléaire iranien, ce qui n’est pas souhaitable".
