Avec 4,6 milliards d’euros de plus qu’en 2012 pour la santé, ce PLFSS entend marquer une "inversion des priorités" par rapport à l’ancienne mandature. "La rigueur pour la rigueur n’est pas un projet politique, c’est l’autre nom de l’austérité; ce n’est pas le choix de ce gouvernement", a souligné la ministre des Affaires sociales, Marisol Touraine, en présentant ce texte qui se veut "protecteur".
"Pour moi, rétablir les comptes sociaux, c’est d’abord garantir aux Français qu’ils seront protégés face aux aléas de la vie", a-t-elle plaidé à la tribune de l’Assemblée nationale, assurant que "sans justice, aucun redressement n’est possible".
