Les proches des deux journalistes espagnols capturés en septembre en Syrie par un groupe affilié à Al-Qaïda ont lancé mardi un appel à leur libération, après avoir gardé secret cet enlèvement pendant près de trois mois, disant avoir «la conviction» que les deux hommes sont vivants. «Nous croyons qu’ils sont vivants et qu’ils vont bien», a lancé le directeur du journal El Mundo, Pedro J. Ramirez, lors d’une conférence de presse à Madrid, expliquant que des personnes ayant rencontré les journalistes enlevés avaient fourni des témoignages en ce sens.