"J’ai reçu une information grave", a-t-il dit sans plus de précisions, cité par des médias japonais, après eu avoir une conversation téléphonique avec son homologue algérien.
Le porte-parole en chef du gouvernement japonais, Yoshihide Suga, a précisé peu après que les informations données par Alger "parlaient de mort" et évoquaient les Japonais employés sur le site, dont on est toujours sans nouvelles.
Interrogé par des journalistes, il a refusé de donner un chiffre précis d’éventuelles victimes, ajoutant que le gouvernement japonais attendait d’être officiellement informé du bilan final de la prise d’otages et de l’assaut des forces algériennes.