Ces affrontements interviennent après la mise en garde lancée par la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA, rébellion à dominante touareg) qui avait prévenu mardi soir qu’il ne lui restait "d’autre choix que celui d’user de son droit à l’exercice de la légitime défense" après la prise lundi par des groupes pro-Bamako de ses positions à Ménaka (nord-est).