De nationalité russe, "il parle très bien dari", l’une des deux langues officielles d’Afghanistan, majoritairement parlée dans le nord, a-t-il précisé. Caché comme les autres dans une pièce sécurisée, dont la porte n’a pas résisté aux émeutiers, il a tenté d’attirer en se montrant l’attention des assaillants, pendant que ses trois collègues européens se cachaient dans l’obscurité.