Quant à la souscription nationale lancée par l’UMP pour payer ses créances suite à l’invalidation des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy, le président de l’UMP s’est dit optimiste : "nous ne sommes plus très loin des 7 millions d’euros, ce qui me touche beaucoup, car c’est la démonstration que dans cette période si difficile, de nombreux Français considèrent que le débat démocratique, c’est aussi la possibilité pour un grand parti de droite et du centre de s’opposer, mais aussi de proposer un nouveau chemin".