Le défunt, emprisonné peu après la révolution du 14 janvier 2011, avait été condamné pour escroquerie. Frère de Leïla Trabelsi, épouse de M. Ben Ali, il n’était cependant pas une figure de proue de ce clan familiale accusé d’avoir placé la Tunisie sous coupe réglée.
Les grandes figures ont pu quitter le pays et prendre la fuite dans la foulée de la révolution, à l’instar de M. Ben Ali et de son épouse qui vivent en Arabie Saoudite ou de Belhassen, un autre frère de l’ex-première dame, qui vit au Canada.