Cette position correspond au compromis proposé par les juges égyptiens, rendus furieux par le décret présidentiel pris jeudi et empêchant toute contestation des décisions de Mohamed Morsi dans l’attente de l’élection d’un nouveau parlement.
"Le président a exprimé son plus grand respect pour l’appareil judiciaire et pour ses membres", a dit son porte-parole, Yasser Ali.
Il a ajouté au sujet des décisions présidentielles que "celles relatives à des domaines de souveraineté" seraient concernées par le décret.