"A partir du moment où un homme politique entre dans le jeu de montrer sa vie privée, il tend le bâton pour se faire battre", a ajouté Bastien Millot, communicant politique. Concernant le cas DSK, "les femmes journalistes savaient bien que DSK était un séducteur, voire un coureur. Tout cela ne veut pas dire qu’il était capable de violence", a estimé Hélène Pilichowski, journaliste politique au Dauphiné Libéré. "J’ai entendu dire bien sûr qu’il était coureur, mais ce n’est pas un crime", a considéré André Vallini.