« Là où le Canada est absent, une présence diplomatique sera possible », a justifié M. Baird.
À titre d’exemple, le ministre Baird a indiqué que les diplomates canadiens utiliseront des locaux de l’ambassade britannique au Myanmar, tandis que les diplomates britanniques utiliseront des locaux de l’ambassade canadienne à Port-au-Prince, en Haïti.
M. Baird a insisté pour dire que les deux pays ne « fusionneront » pas les ambassades. Il a également insisté sur le fait que les diplomates de chaque pays garderont leur indépendance.
Selon lui, cette démarche permettra au Canada d’économiser en utilisant des locaux des missions diplomatiques britanniques en attendant d’avoir la possibilité d’avoir son propre édifice.
M. Baird a précisé que l’accord concerne uniquement l’ambassade de Grande-Bretagne au Myanmar et celle du Canada en Haïti.