"Il n’appartient pas à un syndicat de choisir les dirigeants d’une société de l’audiovisuel public. En revanche, il lui appartient de signaler les problèmes de gouvernance et d’appeler à une prise de décision urgente afin de préserver l’avenir des sociétés et des personnels dépendants de l’AEF. L’Etat souhaite-il toujours vraiment mettre en place la réforme qu’il a décidé d’engager?", ajoute la CFDT.
"L’Etat aurait-il passé un arrangement politique avec l’ex-ministre des Affaires étrangères au détriment des salariés de France 24 et des autres filiales de l’AEF? Ce lourd silence engendre des doutes et des suspicions à l’heure où il devient urgent, voire vital, d’agir", s’interrogent aussi les syndicalistes.