"Nous privilégions toutes les initiatives qui permettraient d’aboutir à une issue pacifique mais cela pourrait finir par des opérations militaires", a déclaré M. Abdeljalil lors d’une conférence de presse.
"A partir de samedi, si une issue pacifique n’est toujours pas en vue sur le terrain, nous pourrons faire la différence militairement", a -t-il dit.
Selon M. Abdeljalil, cet ultimatum concerne la ville de Syrte, la localité de Bani Walid et la région du Sud.
La situation était calme mardi matin sur le front à l’est de la ville de Syrte, dans le centre de la Libye, où les rebelles continuaient de recevoir des renforts.