Ce qui ressort du communiqué officiel, c’est que le CSA “appelle les chaînes de télévision à la plus grande retenue dans la diffusion d’images relatives à des personnes mises en cause dans une procédure pénale. Le principe de la liberté d’expression et le droit à l’information ne doivent pas méconnaître le fait que de telles images sont susceptibles de porter atteinte au respect de la dignité de ces personnes.”
Le CSA se fend également d’un rappel à la loi – celle du 15 juin 2000, qui punit d’une amende la diffusion d’une image faisant apparaître une personne menottée ou entravée.