"J’ai eu le souci d’alerter le président de la République sur les grands enjeux et une situation grave sur le plan intérieur et sur le plan international, et j’ai eu le souci de rappeler ce que me paraissent être les grandes exigences face aux difficultés que nous traversons", a-t-il ajouté.
L’ancien Premier ministre dit avoir notamment mis en garde le chef de l’Etat contre une "recherche de boucs émissaires" à la faveur du futur débat sur l’islam et rappelé que, sur le plan international, la France devait "être en initiative, en proposition".
"Dans les circonstances actuelles, un intérêt supérieur doit passer avant toute chose : l’intérêt supérieur de la nation. C’est ce qui doit l’emporter", a-t-il encore insisté indiquant passer outre "un esprit d’opposition personnelle