Il s’agit de "dénoncer la campagne de haine et de violence à l’œuvre contre la presse internationale, ( …) destiné à étouffer l’information et à vider Le Caire des journalistes", a déclaré Jean-François Julliard, secrétaire général de l’organisation.
Après avoir collé des photos de certains des journalistes agressés sur les parois du bâtiment, les militants ont agités des banderoles où étaient écrit : "Egypte, stop aux violences contre les journalistes".