"En ce qui concerne les armes puissantes, notamment pour détruire les avions, il y a un problème massif : on ne peut pas livrer des armes à des personnes dans des conditions qui risqueraient de se retourner ensuite contre nous", a poursuivi Laurent Fabius. "Je prend l’exemple libyen : il y a des armes qui ont été livrées, aujourd’hui on retrouve une grande partie de ces armes au Sahel, au Nord du Mali, pour, le cas échéant, atteindre des objectifs qui seraient européens", a rappelé le ministre.