Déplorant cette perte, l’Union des écrivains du Maroc (UEM) a affirmé que le disparu fut une icône de la poésie contemporaine marocaine, de par l’abondance de sa production marquée par un savant dosage entre romantisme et patriotisme et ponctuée par un visible penchant vers la description des aspects architecturaux distinguant les murailles et les monuments de Meknès.
L’ oeuvre de feu Zitouni établit un métissage entre modernisme et traditionalisme tant et si bien que ses productions tendent à revisiter l’héritage patrimonial via une approche de prospection moderne.
Six ans après l’éclosion de ses uvres poétiques en 1690, le disparu a rejoint les rangs de l’UEM où il a dirigé le secrétariat local de la section de Meknès.
L’ oeuvre de feu Zitouni compte plusieurs recueils dont certains poèmes ont été publiés par des organes de presse nationaux et arabes.