L’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy avait notamment déclaré : "On ne peut pas être donneur de leçons et en même temps avoir son pognon planqué à l’étranger". "C’était la première fois que j’étais la cible de telles attaques", a expliqué Yannick Noah, qui les estime "totalement injustifiées"."Ma cible c’était le choix de François Hollande, pas Yannick Noah", s’est défendu Pierre Charon.
La magistrate du parquet, soulignant "l’imprudence" des propos de Pierre Charon, a néanmoins estimé l’infraction caractérisée. Le jugement sera rendu le 11 juillet.