Les déclarations de la Maison blanche, qui a souligné que ces zones d’exclusion faisaient toujours partie des possibilités, comme d’autres propos et actes des gouvernements occidentaux et de l’opposition syrienne "sèment le doute sur la sincérité de certains de nos (…) partenaires quant à leurs voeux de succès pour les efforts internationaux", écrit le ministère russe dans un communiqué.
Moscou et Washington ont proposé le 7 mai de réunir des représentants du pouvoir syrien et de l’opposition en juin à Genève en vue d’un règlement négocié du conflit, mais de nombreux obstacles, dont leurs propres divergences, restent à surmonter.