"Mais ce qui reste tout de même, c’est qu’il a un bilan : il y a la réforme du système de santé, l’économie est en crise mais elle a quand même quelques éléments qui prouvent qu’elle est en train de retrouver le chemin de la croissance", sans oublier "Ben Laden". En revanche, pour ce qui est du côté symbolique, c’est-à-dire l’élection d’un premier président de couleur noire, "on ne peut pas dire que l’état d’esprit aujourd’hui soit identique à celui qui prévalait il y a quatre ans", a-t-il ajouté.