Les paradis fiscaux, l’avenir des relations spéciales entre l’Union européenne (UE) et les Etats-Unis et le conflit syrien sont autant de dossiers qui suscitent encore des divergences entre les chefs d’Etat des pays les plus avancés du monde à la veille de leur conclave à Lough Erne.
D’après les médias londoniens, le Premier ministre britannique David Cameron, qui présidera ce sommet semblait prêt de réaliser une percée au sujet des paradis fiscaux, notamment l’amélioration de la coopération fiscale dans les territoires britanniques d’outre-mer, devenus de grands centres financiers internationaux grâce à des taux d’imposition peu élevés, une réglementation peut contraignante et des exigences limitées pour les investisseurs en matière de divulgation d’informations.
M. Cameron veut que ces territoires régularisent le partage d’informations fiscales et améliorent leur transparence.
Le chef du gouvernement britannique souhaitent également saisir l’occasion du sommet du G8 pour faire passer des mesures de répression mondiales sur des arrangements complexes utilisés pour dissimuler la richesse et réduire les paiements d’impôts.