L’Algérie est le 2e fournisseur de gaz de l’Europe après la Russie et son 13e fournisseur en pétrole.
La fiscalité pétrolière a atteint 3.700 milliards de dinars (37 milliards d’euros) en 2011, en hausse de 36% comparée à 2010, a-t-il ajouté.
"Depuis 2005, les prix du pétrole ont dépassé les 100 dollars et les compagnies pétrolières ont réalisé des bénéfices colossaux qui étaient inimaginables lorsque les contrats avaient été signés", a précisé le ministre selon lequel l’Etat a le droit de limiter les bénéfices.
Toutefois, l’Algérie va mettre en place des "incitations financières" pour encourager les investissements étrangers dans les hydrocarbures.
L’Union européenne (UE) négocie depuis 2008 avec l’Algérie un accord stratégique sur l’énergie.
Cet accord pourrait être être signé en 2012, avait déclaré début janvier le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci.