Dans ses réquisitions écrites, l’avocat général Pierre Nalbert ne retient pas l’argument avancé par la défense de l’ancien chef de l’Etat concernant la définition de l’abus de faiblesse dont aurait été victime l’héritière de l’Oréal.
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite