L’examen pratiqué à l’institut médico-légal d’Amiens a montré que la "cause principale du décès était l’hydrocution" et a "confirmé qu’il n’y avait pas de traces de violences externes ni internes", a précisé la procureur. L’explication de l’hydrocution est "compatible avec la température de l’eau très froide" au cours des "jours autour de la disparition de Bruno et avec le fait que Bruno était très peu vêtu", a-t-elle souligné.
L’autopsie a donc permis d’écarter "toute hypothèse" criminelle, a conclu Ulrika Delaunay-Weiss. En revanche, l’autopsie n’a pas permis d’établir avec certitude la date du décès de l’adolescent de 17 ans, qui avait disparu le 18 décembre du lycée horticole de Ribécourt-Dreslincourt dans l’Oise.
