Ces rebondissements spectaculaires, jugent plusieurs médias, semblent donner le coup de grâce à un parti profondément divisé, toujours en quête de stratégie et de patron après avoir perdu en mai le pouvoir au profit du Parti socialiste de François Hollande.
L’élection du chef du premier parti d’opposition de France, l’UMP, a viré mercredi au psychodrame, l’ancien Premier ministre François Fillon contestant d’abord la victoire de Jean-François Copé avant de renoncer à se battre, tout en refusant que son rival dirige le parti.