Par ailleurs, la Russie a appelé la nouvelle coalition de l’opposition syrienne à mettre fin à la crise par "le dialogue et la négociation" et "sans intervention extérieure".
"L’Otan, en tant qu’organisation, fera ce qu’il faut pour protéger et défendre la Turquie, notre allié. Nous avons des plans pour nous assurer de pouvoir protéger et défendre la Turquie et espérons-le aussi être de ce fait dissuasifs, de sorte qu’il n’y ait pas d’attaques contre la Turquie", a déclaré Anders Fogh Rasmussen, lors d’un discours à Prague.
Les autorités turques, inquiètes d’une extension du conflit syrien, ont fait savoir la semaine dernière qu’elles allaient déposer une requête auprès de l’Otan en vue du déploiement de missiles Patriot à la frontière turco-syrienne. (voir
Dimanche, les différentes composantes de l’opposition syrienne réunies à Doha, au Qatar, ont conclu un "accord initial" sur la formation d’une nouvelle instance représentative visant à resserrer les rangs rebelles et favoriser la chute du président Bachar al Assad.