Le secrétaire général des Nations unies a souligné que tous les Etats membres de cette organisation se devaient de respecter les décisions de la Cour pénale internationale (CPI), qui a lancé des mandats d’arrestation visant le Guide libyen, l’un de ses fils, Saïf al Islam, et le chef des services secrets.
Les insurgés, qui affirment avoir capturé Saïf al Islam et deux de ses frères, ont laissé entendre qu’ils pourraient juger en Libye ces trois dirigeants au lieu de les remettre à la CPI, qui siège à La Haye.