De nombreuses critiques du président Emomali Rakhmon ont été publiées sur Facebook.
En mars, le Tadjikistan avait déjà ordonné le blocage de Facebook pendant une semaine, ainsi que celui de plusieurs sites de médias indépendants critiques à l’égard du président Rakhmon, qui dirige d’une main de fer depuis 20 ans ce pays pauvre frontalier de l’Afghanistan.