Ces sanctions comprennent notamment un gel des transactions commerciales avec le gouvernement syrien ainsi qu’une mesure similaire entre les banques centrales turque et syrienne, a-t-il dit devant la presse à Ankara.
Depuis le déclenchement des manifestations contre le régime du président Bachar al-Assad en mars, la répression a fait plus de 3.500 morts selon l’ONU.
La Turquie, ancien allié régional et politique de la Syrie, a adopté une position de fermeté contre son voisin et a appelé au départ du président syrien.
