Arrivé en France à l’hôpital militaire du Val-de-Grâce le 27 avril, à la suite d’un AVC mineur selon les autorités algériennes, le président algérien avait été transféré le 21 mai aux Invalides "afin d’y poursuivre sa convalescence", selon le ministère français de la Défense. Alors que le mandat d’Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis 1999, s’achève en 2014, François Hollande a dit "ne pas croire" à un risque de chaos sur la succession au sommet du pouvoir algérien. "Il y une solidité des institutions algériennes, c’est aux Algériens de déterminer leur avenir, des élections sont prévues en 2014 et je fais confiance à ce processus", a-t-il déclaré.