"Au moins 15 soldats ont été tués et le sort de dizaines d’autres est inconnu à la suite du raid israélien. Ces trois sites comptent 150 hommes mais on ignore si tous s’y trouvaient lors du raid", a expliqué Rami Abdel Rahmane, directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).
Les autorités syriennes n’ont pas donné jusqu’à présent de bilan officiel, mais les Affaires étrangères avaient affirmé que "cette agression avait causé des morts et des blessés et des destructions graves dans ces positions et dans des régions civiles proches".
Le raid a visé un centre de recherches scientifiques à Jamraya, déjà touché fin janvier par Israël, ainsi que deux objectifs militaires –un important dépô t de munitions et une unité de la défense anti-aérienne–, selon un diplomate à Beyrouth s’exprimant sous couvert de l’anonymat.

